GP Explorer : l’événement total
Avec GP Explorer 3, Squeezie orchestre ce week-end une alchimie unique où course automobile, festival, streaming et spectacle se conjuguent pour offrir au public une expérience de sportainment sans équivalent.
Au début des années 70, le « football total » de Rinus Michels, incarné par Johan Cruyff, a marqué l’histoire du sport en révélant la force d’un collectif où chaque joueur servait le jeu. Cinquante ans plus tard, Squeezie transpose cette philosophie à l’événementiel en inventant, presque malgré lui, « l’événement total ».
D’une course automobile un peu folle lancée il y a deux ans, GP Explorer est devenu une machine à fabriquer des émotions. Un événement unique qui, cette année, repousse toutes les limites : trois jours de programmation, une soirée de concerts pour chauffer la piste, des millions de spectateurs sur Twitch, une diffusion en clair sur France Télévisions, un album officiel produit et réalisé par SCH, des partenaires de poids comme Netflix, Samsung ou Lego… et bien sûr la course elle-même, où 24 pilotes-influenceurs et personnalités s’élanceront en Formule 4 sur le circuit Bugatti du Mans.
La force de GP Explorer tient à la complémentarité des talents mobilisés : les créateurs de contenu partagent leur énergie brute et entraînent leurs communautés dans la course, les streamers assurent une narration en direct, les artistes transforment le week-end en festival, posant une bande-son qui prolonge l’émotion au-delà de la piste. Les marques partenaires, elles, offrent les moyens et l’écho nécessaire pour amplifier l’événement à l’échelle mondiale. Quant au public - 200 000 spectateurs attendus au Mans et plusieurs millions en ligne - il en devient le moteur essentiel, transformant l’expérience en communion collective.
Au fond, GP Explorer est la démonstration éclatante de la puissance du sportainment. Ce modèle hybride qui mêle compétition, divertissement, culture et communauté. Une grammaire nouvelle de l’événement, où l’on ne se contente pas de regarder : on vit, on partage, on s’immerge.
En baptisant cette édition « The Last Race », Squeezie en fait un mythe instantané. Ultime, donc forcément culte. Et comme souvent avec les événements qui comptent, il ne s’agit pas seulement d’assister à un show, mais d’avoir le privilège de dire : « J’y étais. »